
« Dans cet essai documenté, Camille Teste propose de hacker les pratiques de bien-être pour en faire de puissants outils d’émancipation et de changement politique ».
Une véritable invitation à l’introspection de nos pratiques (souvent plus normatives, individuelles et excluantes que l’on imagine) et des propositions concrètes pour sortir du clivage « métiers du bien-être » qui refusent généralement de parler des problèmes systémiques (injustices et inégalités sociales, patriarcat,…) sous couvert de « mauvaises vibes » versus « sphères progressistes » qui, de leur côté, moquent les milieux spirituels.
Mes préférées : faciliter les luttes, respecter les cultures des autres, cultiver la vulnérabilité et revendiquer une spiritualité engagée.
Collectivement, nous pouvons contribuer et structurer un monde plus juste ! Que ça fait du bien à lire !